Kwon Hae Li

Annyeong! Je suis Kwon Hae Li. Cependant, on me surnomme aussi Chaton. J'ai actuellement 18 ans. Je suis née à Séoul le 23 septembre 1995. Et je suis donc d'origine sud-coréenne. Je suis étudiante en technique de santé animale mais aussi employée à temps partiel à l'animalerie du coin. D'un point de vue personnel, je suis hétérosexuelle et célibataire.

Sinon, j'appartiens au groupe Je suis à ta recherche, et je suis un personnage inventé. Je suis jouée par Lee Ha Yi (Lee Hi)

Caractère

confuse émotive discrète timide persévérante
peureuse dépendante serviable naïve adorable

Je suis un petit être constamment confus. Je me pose et je pose ouvertement beaucoup de questions, parfois sans fond, parfois philosophiques. Qu'est-ce que je fais, qu'est-ce que j'ai envie de manger, pourquoi ci, pourquoi ça, est-ce que je peux avoir un verre d'eau s'il vous plaît, c'est quoi le destin, est-ce que c'est vrai, comment ça se fait, l'oeuf ou la poule ? Je parle beaucoup... moulin à paroles que je suis. Enfin… dès que je me sens bien avec une personne, je parle pour toujours. Sinon je ne gaspille pas vraiment ma salive. Je suis un être d'émotions, et je l'ai toujours été. Discrète, timide, gênée, je ne semble à rien. Personne ne pourrait supposer que je suis comme une bombe émotionnelle. Je vis ma vie à fond les émotions, ce qui peut être assez troublant. Je raconte souvent ma vie et j'y rajoute toujours des émotions. Comment je me sentais à ce moment-là, comment je me sens maintenant. Je suis un peu trop ? C’est possible, mais je n’y peux rien. Quand je suis de bonne humeur, mon filtre est très mince et je raconte tout plein de choses. C'est ma vraie nature, mais parfois, ça embête les gens parce que je raconte sans arrêt ma vie, ce que j'ai appris aujourd'hui à l'école, etc, etc. Je suis comme une enfant. Mais une enfant déchue.

Derrière mes airs de jeune adolescente souriante, je suis une enfant déchue. Le fait d'être moi-même, ayant subi un traumatisme, j'ai constamment peur. J'ai peur des coups de feu, même dans les films. Les feux d'artifice ne sont pas quelques choses de magiques à mes yeux. C'est une peur. J’ai aussi peur de revivre cet événement. C’est peut-être pour cette raison que je m’accroche à mes proches autant. Je n’ai pas envie qu’ils partent comme mon père ou comme ma mère qui n’est jamais revenue me chercher. Ce souvenir-là ne disparaîtra jamais. En général, il m’est assez difficile de gérer psychologiquement. C'est pourquoi je ressens toujours le besoin d'exprimer mes émotions, de n’importe quelle façon. Des feuilles blanches et des crayons, et je crache tout ça. C'est ma façon favorite.

Je dépends beaucoup de mes proches. Je ne connais pas l'indépendance. C'est quoi ça ?

Il y a des choses qui ne changeront jamais. Je suis serviable, presque soumise à tous les ordres, sauf ceux que je juge un peu trop suspicieux à mon goût. Je ne m'obstine jamais, probablement parce que je suis un peu naïve. Je peux croire à tout et à n'importe quoi tant que ça me fait un peu de sens. Il ne faut jamais me déranger quand je suis concentrée. Par exemple, quand je dessine, je suis dans une sorte de bulle que je me suis créée, et il ne faut pas me déranger. De toute façon, je suis tellement concentrée que je n'entends rien d'autre que ma propre pensée. Je suis souvent dans ma bulle, souvent dans la lune. Je suis facilement impressionnable et facilement troublée. Les tours de magie m'impressionnent et je veux comprendre.

J'aime beaucoup les chats. Vraiment beaucoup. J'aime tous les animaux, mais les chats, c'est l'amour fou. J'aime les câlins et les choses mignonnes et colorées. J'aime quand on répond à mes questions, j'aime quand on ne m'ignore pas quand je souhaite l'attention. Ce n'est pas quelque chose que je fais souvent, mais parfois, c'est nécessaire. Certains diront qu'avec ma curiosité, mes questions et mon blabla quotidien, je la cherche, l'attention, mais l'intention n'est pas là.

Je n’aime pas les bruits soudains à un haut niveau de décibels. Je n'aime pas me faire pincer les joues parce que je suis mignonne et que j'agis de façon adorable comme mes tantes me le font souvent. Je n'aime pas qu'on me fixe, ça me rend mal à l'aise, ça me stresse et puis ensuite j'ai peur. Je n'aime pas me sentir seule, mais ça, c'est la vie... Je me sens souvent seule à l'école, mais comme j'aime beaucoup apprendre, je ne m'y sens pas trop perdue. Heureusement, personne ne m'embête, car je n'aimerais pas ça non plus. Je n'aime pas me faire déranger pendant que je dessine des poneys ou n'importe quoi d'autre. J’aime bien me croire dans un monde parallèle comme dans mes dessins.

Je suis comme un petit chat gentil.

Suite -

Sinon j'ai aussi une histoire

권해리.

On dit souvent qu'on ne choisit pas notre famille, ce qui est vrai. Je n'ai pas choisi de naître au sein d'une famille plutôt dysfonctionnelle. Ce n'était pas facile tous les jours, mais il y avait de l'amour. J'ai vécu pour mes premières années dans un appartement du quartier pauvre de Séoul. Je n'ai manqué de rien, mais je n'ai pas eu le luxe que certains ont pu avoir, et c'est correct comme ça. On m'a bien appris à vivre avec ce que j'ai, sans demander la lune. Ma grand-mère, veuve, vivait juste au-dessous. Je me retrouvais souvent chez elle, car mes deux parents travaillaient. Ils travaillaient fort pour subvenir aux besoins de notre petite famille, ce qui n'était pas toujours facile. Ma mère revenait à la maison plus tôt. C'est avec elle que j'ai appris à lire et à écrire. Elle s'occupait toujours de moi dès qu'elle rentrait à la maison. C'était important pour elle. Puis, mon père arrivait plus tard, toujours épuisé, affreusement épuisé. Il m'accordait un peu d'attention, mais c'est tout. Après le souper, il vaquait à ses occupations. Puis, il était l'heure du dodo, sage comme j'étais, il n'était pas très difficile pour ma mère de me convaincre qu'il fallait dormir.

Je savais que mon père n'allait pas très bien. Mais du haut de mes trois ans, ou peut-être même quatre ans, je ne pouvais pas comprendre plus que ça. Mon père ne semblait pas heureux. Cette année-là, il ne s'occupait plus de rien dans la maison. Il allait et revenait dans le seul but de ramener de l'argent pour nous faire vivre. Ma mère a tout essayé, mais en vain. Cette année-là, aussi, mes parents se chicanaient assez souvent. Ça me faisait peur. Je n'aimais pas les entendre parler fort. Je n'aimais pas entendre ma mère pleurer ni entendre mon père mettre les poings sur les meubles. Puis ils allaient se coucher. Parfois, la suite attendait le lendemain, parfois non, mais c'était assez fréquent. Comme d'habitude, ma mère prenait soin de moi, mais elle ne souriait plus comme avant. Elle me lisait des histoires avec moins d'intonation et de voix. Les personnages féeriques n'avaient plus de jolies voix amusantes.

Puis cette tardive soirée.

J'avais pris cette habitude de me lever et d'observer mes parents se chicaner avec beaucoup de peine. Je n'aimais pas rester toute seule dans mon lit à les entendre. J'avais besoin de compagnie, j'avais besoin de câlins. Mais ils étaient occupés à se crier dessus. Je n'osais pas m'interposer. Je ne sais pas pourquoi je faisais ça, en y repensant. J'ai donc été témoin du plus grave geste qu'un être humain peut se poser à lui-même. En furie et en pleurs, se chicanant avec ma mère, mon père s'est dirigé vers une table haute munie d'un tiroir et en a sorti une arme qui devait cacher là depuis longtemps. Ma mère a hurlé. C'était douloureux à entendre.

Mon père ne portait plus la vie dans son coeur depuis longtemps. Il n'attendait qu'un moment comme celui-là pour s'enlever la vie. Il était rouge de colère, bleu de tristesse. Il n'en pouvait plus. Tout de suite après le geste fatal, ma mère s'est retournée, puis s'est effondrée. Elle a levé la tête et c'est à ce moment qu'elle a croisé mon regard paniqué qui la regardait. Elle m'a questionné du regard, mais n'a pas eu besoin de réponses.

Un jour, ma mère m'a emmené dans un grand établissement, un centre de jeunesse. Une éducatrice m'a pris en charge. Ma mère m'avait dit qu'elle reviendrait. Elle m'avait rapidement expliqué qu'elle ne pouvait pas me garder avec ce qui s'est passé. Elle m'avait rapidement expliqué qu'elle n'avait pas le choix. On m'a gardé quelque temps au centre. Plusieurs professionnels s'occupaient de moi afin que je puisse vivre en paix avec cet événement traumatisant.

C'est chez une autre maman que j'ai grandi avec quelques autres enfants que j'avais rencontrés au centre. On pourrait maintenant dire que c'est ici, à la maison d'accueil des Choi, que j'ai vraiment commencé ma vie. J'ai commencé l'école et je me suis fait quelques amis. Seulement quelques amis, je n'ai jamais été douée avec les relations. J'ai toujours été sagement assise dans mon coin, c'est les autres qui venaient vers moi en général. J'étais plutôt solo, en train de dessiner tranquillement en me chantant des chansons à voix basse. Toujours tranquille.

Et c'était ainsi à l'adolescence. Je n'étais pas très dérangeante. J'avais un petit cercle d'amis, et c'était vraiment avec eux (enfin, c'est plutôt «avec elles» étant donné que la gent masculine ne semblait pas s'intéresser à moi, même en tant qu'ami) que je pouvais être jasante et amusante.

Aujourd'hui, j'ai 18 ans et je suis encore une adolescente. J'ai trouvé un emploi à temps partiel à l'animalerie du coin, car j'adore les animaux. J'étudie aussi. C'est ma première année en Technique de santé animale. Je me débrouille très bien dans le monde adulte jusqu'à présent.

Et sinon côté love?

Que pensez vous de la légende du fil rouge? C'est mignon, pas vrai ? J'y crois, mais ça fait un peu peur quand même... J'aime croire que c'est comme ça que mes parents se sont aimés. Ils s'aimaient, mais c'était difficile. Même si ça n'allait pas toujours bien, ils étaient toujours ensemble. Je crois que c'est à cause de ce fil rouge. Cette force qui les a uni ensemble jusqu'à la fin.
Vous vous découvrez des sentiments pour votre pire ennemi, votre premiére réaction? «Ew...» Ce serait très bizarre et je n'ai pas particulièrement envie que ça arrive. Ce ne serait pas très joyeux-joyeux tout ça. Je... je ne sais pas. Je suis confuse, j'abandonne de répondre à cette question.
Si je vous disais que j'étais celui qui a mis le bazar dans votre vie, vous le prendriez comment? J'ai peur, laisse moi tranquille. C'est pas très gentil ce que tu fais.
Tu préfères Justin Bieber ou Justin Timberlake? Pourquoi? Je préfère Justin Timberlake. Est-ce vraiment utile le pourquoi de la chose ? Je dois être la seule adolescente à ne pas aimer Justin Bieber. Je ne suis pas fan de sa musique, je ne suis pas fan de lui, c'est tout. Je préfère Justin Timberlake parce que sa musique est sympathique et qu'il est nettement plus intéressant que l'autre jeune con qui s'amuse à faire du boulot pour les autorités.
Sinon, je suis célibataire moi aussi.... Ça vous dirait un café? Non merci, mais peut-être un chocolat chaud quand je serai plus grande !

Dernière étape!

Allô ! Je m'appelle Janie, mais dans le merveilleux univers des Internets, on me connaît en tant que Minzyx (mnzx). J'ai 18 ans et j'habite au Québec ! Si vous voulez savoir, la neige fond tranquillement et on est contents ! (yay enfin !) Et pis euhm j'aime les chats pis les girafes. J'essaie d'être présente à tous les jours et pour ce qui est des RPs, j'essaie d'écrire et de poster quand je peux avec mon horaire d'étudiante. Voilà ! J'espère que vous aimerez Hae Li cutiepie :3 Je vous aime ! ♥

Mot de passe:

gros chaton bienvenue je t'aime ♥

Bon, bon j'ai déjà dis bienvenue sur la box, mais j'aime quand même te laisser une petite patoune ici.
Bienvenue jeune mademoiselle.
A bientôt sur le rp et bon courage pour ta fiche.

Bis